..je n’ai jamais eu de montre de poignet : d’ailleurs je n’aime pas sentir la journée passer comme cela dans une aiguillée de vie, battre comme un coeur, vivre sur moi en parasite ; qu’elle soit en dehors, je préfère. Je n’ai pas besoin de savoir l’heure, l’heure des autres.
Jean Cayrol
L’heure des autres ! Et oui très souvent c’est pour les autres quand, pour soi-même il n’existe de temps! Le temps! Cette durée qui s’évapore.