L’échec amoureux n’est ni plus ni moins qu’un calcul coincé dans les reins. De la taille d’un grain de sable, d’un petit pois, d’une bille ou d’une balle de golf, une cristallisation susceptible de provoquer une douleur forte, voire insoutenable.
Delphine de Vigan
« À chaque poison son antidote, à l’échec amoureux seul remède est le temps. » Ça, c’est de moi. 😉
Merci Rolland