Où pleurent les gens ? C’est la question que je me pose souvent, bizarre qu’on croise jamais dans la rue des gens en train de chialer. Ils téléphonent beaucoup plus qu’ils pleurent, peut-être qu’on se détesterait moins si on chialait plus.
Véronique Olmi
Peut-être même qu’on s’aimerait. Et parce que s’aimer prend du temps, beaucoup de temps, on rangerait sagement nos téléphones portables dans un fond de tiroir.
PS : Merci de suivre mes élucubrations.