L’air est aussi pesant que les anciens fardeaux, ces blessures souterraines dont on ne guérit pas. Les tenir secrètes, ce n’est pas seulement se garder de les dire. C’est, en quelque sorte, les nourrir. C’est à l’ombre que s’épanouissent certaines douleurs. C’est dans le silence que fleurissent ces obsessions qui deviennent le moteur et le tracé de nos existences.
Léonora Miano
Bonjour Didier se complaire dans ce qui fait mal ne peut-être à mes yeux que négatif les souffrances passées mettons les de côté.Ne rien oublier mais aller de l’avant..