La rue 25 octobre 201825 octobre 2018 DIDIER CELISETNon classé C’est comme si la rue n’allait jamais se calmer. Le défilé des gens me fait penser à celui des gouttes d’eau sur la vitre des trains. Il pleut des humains dans cette ville : une averse continue, drue, sans éclaircie. Éric Pessan Partager :FacebookXJ’aime ça :J’aime chargement…
une sensation déjà éprouvée merci Didier bon weekend:)