J’aime cette idée qu’ils ont mûri pendant la nuit ces écrits, comme une pâte à pain que l’on a laissé lever et que l’on retrouve au petit matin bien gonflée et odorante.
Jean-Paul Didierlaurent
J’aime cette idée qu’ils ont mûri pendant la nuit ces écrits, comme une pâte à pain que l’on a laissé lever et que l’on retrouve au petit matin bien gonflée et odorante.