La douleur des autres

Si nous pouvions, ne serait-ce qu’une fois par jour, regarder clairement la douleur des autres, la petitesse de nos propres affaires prendrait la forme d’un tas de brindilles posé sur un banc de pierres grises dans un jardin d’automne.
Philippe Labro 

 

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.