La femme, même dévêtue, reste vêtue d’elle-même et des signes de sa vie. Elle s’offre à la lecture; il faut apprendre du bout des doigts à lire et à déchiffrer ce solfège. On peut la dévêtir d’innombrable fois en étant assuré de la découvrir toujours.
Jean-Pierre Otte
L’homme, même dévêtu, reste vêtu de lui-même et des signes de sa vie. Il s’offre à la lecture; il faut apprendre du bout des doigts à lire et à déchiffrer ce solfège. On peut le dévêtir d’innombrable fois en étant assuré de le découvrir toujours.
(attaquons le new racisme du féminisme exagéré)