Savoir à quel point il est possible de souffrir aura modifié ma perception du bonheur. Ce qui, auparavant, n’aurait été qu’un état banal, « normal », m’est devenu fort précieux. Et ne pas souffrir me semble aujourd’hui tenir de la grâce.
Céline Curiol
même pensée que moi…sommes nous aveugles? Le bonheur est là et nous ne le voyons pas,nous en connaissons sa puissance lorsqu’il n’est plus là..comme des aveugles de la vie.
Oui, Marguerite, le bonheur, c’est hier
Venez lire Le Droit des larmes sur mon blog, c’est tout à fait dans le thème, ça devrait vous plaire. Une autre Marguerite de moins de 80 ans….
Merci Marguerite.
Mais c’est souvent dans la souffrance qu’on atteint la noblesse du cœur humain.
La souffrance nous rend plus fort et meilleur , vous pouvez lire mon partage sur ma dépression 🙂
Merci infiniment. Je vais lire cette publication.