Une rupture se doit d’être triste, et pourtant, quand la fin est proche, il y a des ressorts de joie, des intervalles de complicité, des alternances de gaieté. Dans ces laps de temps, on rit d’autant plus facilement qu’on sait que c’est la dernière fois. La vraie tristesse vient après, quand il n’y a plus rien à partager, même pas une explication ou une dispute.
Camille de Peretti
L’@bīme de l’Oubli