L’amour, c’est de l’infini qui se rétracte. Des asymptotes qui se recroquevillent. Des parallèles qui finissent par se croiser.
Yann Moix
L’amour, c’est de l’infini qui se rétracte. Des asymptotes qui se recroquevillent. Des parallèles qui finissent par se croiser.
Yann Moix