Brumes de l’inconnaissance

A mesure que vous approchez de la vérité, votre solitude augmente. Le bâtiment est splendide, mais désert. Parfois vous vous mettrez à pleurer, tant la netteté de la vision est cruelle. Vous aimeriez retourner en arrière, dans les brumes de l’inconnaissance ; mais au fond vous savez qu’il est déjà trop tard.
Michel Houellebecq 

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