Un écrivain peut finir par devenir un simple jongleur de mots plus ou moins adroit. Il peut en arriver à oublier l’essentiel : cette source qui coule au fond de nous et qui est le véritable lieu de rencontre des êtres.
Les mots viennent de partout, à vrai dire, de nos déchirures, de nos élans infinis, de nos douleurs bancales, de nos appels, de nos interrogations, de l’âme en feu…
Didier Celiset
avoir la force de canaliser de cesser d’être trop! TROP ….
Ecouter davantage sa raison que son cœur… c’est un bouclier la raison mais ,la suivre n’est-ce pas AUSSI un peu se perdre?
J’écoute toujours mon cœur, ensuite, je greffe des éléments appartenant à la raison. Par ailleurs, il faudrait juguler les courants en soi, sinon le torrent peut nous emporter.
les mots sont essentiels lorsqu’ils viennent de l’esprit,de l’âme..
Les mots viennent de partout, à vrai dire, de nos déchirures, de nos élans infinis, de nos douleurs bancales, de nos appels, de nos interrogations, de l’âme en feu…
Didier Celiset
avoir la force de canaliser de cesser d’être trop! TROP ….
Ecouter davantage sa raison que son cœur… c’est un bouclier la raison mais ,la suivre n’est-ce pas AUSSI un peu se perdre?
J’écoute toujours mon cœur, ensuite, je greffe des éléments appartenant à la raison. Par ailleurs, il faudrait juguler les courants en soi, sinon le torrent peut nous emporter.
cela est pareil pour moi mais à fleur de cœur ,je désobéis quelques fois à ma raison qui me dit:toi ne délire pas..un sourire à vous Didier.
Un doux délire, Marguerite.
Jouer avec les mots pour plaire à notre chérie! Jouer avec ses seins! Quel plaisir pour le corps et pour l’âme. 😉
Oui, quelle délectation !