Pour écrire, il faut déjà monter sur une colline d’impudeur. Sans éparpillement, sans esquive, racontez votre histoire !
Didier Celiset
Pour écrire, il faut déjà monter sur une colline d’impudeur. Sans éparpillement, sans esquive, racontez votre histoire !
Didier Celiset
L’écriture, sans retenue, permet, outre une certaine aisance dans l’exercice, d’engendrer l’émotion. Didier Celiset
Merci de ces belles idées. Je partage toujours cette définition qu’Emmanuel Mounier nous donne de la pudeur : La pudeur, c’est le sentiment qu’a la personne de n’être pas épuisée dans ses expressions et d’être menacée dans son être par celui qui prendrait son existence manifeste pour son existence totale.
(Le Personnalisme. 1949).
Écrire, c’est sans aucun doute exister manifestement et se dévoiler aux autres, et, je le pense, également à soi. C’est un pas, mais un parmi d’autres, fait vers la réalisation de son existence totale, non ?
Effectivement, mais l’existence de l’âme participe aussi comme une composante à cette réalisation