L’esprit de perfection appartient à l’univers de l’âme. Il est une âme. C’est par notre matérialisme essentiellement perfectionniste que s’affirme notre spiritualité.
Faut-il traduire par : l’âme humaine n’étant que résilience personnelle, la perfection ne saurait être qu’une notion individuelle et par conséquence personnelle ?
La quête impossible de l’absolu qui ne peut se trouver sur terre nous sommes si imparfaits,si prétentieux dans cette quête de la perfection.Il faudrait accepter nos faiblesses pour avoir plus de force et s’en approcher un tout tout petit peu.
c’est une bonne remarque Didier mais sommes nous toujours dans l’humilité? Vivre qu’avec ce sentiment n’apporte rien ou alors une forme d’orgueil imbécile soit se dévaloriser à nos propres yeux..Didier il faudra que je vous donne le thème d’une nouvelle dont je vous ai déjà fait part intitulée:La déraison titre de ce que j’ai commencé à écrire et puis? je crois qu’il y en a un extrait dans mon blog .Cette femme en recherche d’absolu qui se perd en cherchant l’absolu.La perfection passe à côté de sa vie…j’y ai mis beaucoup de moi …
j’ai peur je n’aimerais pas que vous me jugiez sur un écrit qui n’arrêtera peut-être pas votre attention ..je n’ai aucune confiance en moi:( malgré tout je vais chercher cet extrait dans mon blog mais il n’est rien que le début de cette nouvelle..je vais le chercher pour vous et je compte sur votre indulgence:)
Des idées, des mots, des images se heurtaient dans sa tête. Tu penses trop se dit-elle!
Marie essaya de faire le vide en elle et, n’y parvenait pas.
Son cerveau galopait toujours autant. Elle avait la migraine. Une grande amertume envahissait son cœur; Elle est sa soif d’absolu. Elle n’était rien, se sentait misérable, minuscule.
Avant, des les premiers rayons du soleil, elle s’éveillait, se réchauffait. Chaque été elle semblait plus belle. Sur la plage elle faisait l’amour avec le soleil ,il la caressait, la réchauffait, la brûlait pour la laisser anéantie, inerte sur le sable. Elle était bien..
Des petites perles transparentes roulaient un peu partout sur son visage, son corps, sa peau toute entière. Lui était près d’elle ,il n’avait pas besoin de parler cela suffisait .Ils se comprenaient d’un regard. C’était le bonheur. Le bonheur! Marie répéta ce mot tout haut, ferma les yeux, souffla une petite perle de sueur qui s’obstinait familièrement à venir couler jusqu’au bout de son nez.
Elle se mit sur le ventre, cacha sa tête entre ses bras, serra les yeux, essaya de retrouver son visage. Que faisait-il? Est-ce qu’il l’avait déjà oublié?
Elle revint très loin en arrière. Le premier jour, le premier regard. La seule grande tentation de sa vie.
Septembre était là, septembre et la surprise de ses averses. Il avait surgit lui offrant l’abri de son grand parapluie. Elle qui fuyait toujours les inconnus, marchait maintenant à côté de lui, près de lui. Ainsi tout avait commencé. Au début c’était comme un jeu, une bravade à ses principes instaurés depuis de longues générations. Elle n’avait jamais fait l’amour avec lui. Tout s’était passé dans sa tête dans son cœur et, cela avait fait plus de mal que si elle avait donné son corps.
C’est sur cette même petite plage ….
suite à venir si vous aimez .Ce n’est pas une histoire classique adultère non!!!! …..
Je viens de survoler cet extrait, et plus tard dans la soirée, je reviendrai avec plaisir, prendre un délicieux bain dans l’océan de vos si jolis mots.
Didier
Ce n’est pas grave !! l’important c’est de retenir l’esprit, le message .Comme sur mon blog je suis dans l’idée et il n’y a jamais de ratures je devrais je sais;) c’est pour mon plaisir que j’écris avant tout je ne me sens pas digne de publier…
J’aime votre belle spontanéité, votre sensibilité d’où émane la déchirure, votre résistance. Mais vous savez tout cela. Nos âmes se frôlent si bien… Didier
Vous êtes médium. Je suis tendre, solitaire, sauvage car j’ai dû, jeune, ériger mes remparts, je suis dur avec moi-même, perfectionniste, rigoureux; je suis aussi rivé à la nostalgie, endurci par les violents coups de madame la Vie, résistant mais aussi avec mes vertiges, le silence douloureux des heures d’écriture. Et je voyage aussi sur les rives de votre âme. Didier
En 1991, j’ai tout perdu, en l’espace de trois mois…Licenciement économique, procédure de divorce, hospitalisation…j’avais perdu les piliers de ma vie, s’ensuivit alors, après un immense désarroi, une solitude infinie, la bataille de ma vie, pour remonter la pente…et ma vie a changé. D’où cette solidité que vous avez cernée, chère Marguerite.
Faut-il traduire par : l’âme humaine n’étant que résilience personnelle, la perfection ne saurait être qu’une notion individuelle et par conséquence personnelle ?
Libre jugement oui je crois pour ma part qu’elle est une notion toute personnelle.Souvent un casse tête chinois:)
La quête impossible de l’absolu qui ne peut se trouver sur terre nous sommes si imparfaits,si prétentieux dans cette quête de la perfection.Il faudrait accepter nos faiblesses pour avoir plus de force et s’en approcher un tout tout petit peu.
L’humilité est une composante de l’exigence psychologique, me semble t-il.
c’est une bonne remarque Didier mais sommes nous toujours dans l’humilité? Vivre qu’avec ce sentiment n’apporte rien ou alors une forme d’orgueil imbécile soit se dévaloriser à nos propres yeux..Didier il faudra que je vous donne le thème d’une nouvelle dont je vous ai déjà fait part intitulée:La déraison titre de ce que j’ai commencé à écrire et puis? je crois qu’il y en a un extrait dans mon blog .Cette femme en recherche d’absolu qui se perd en cherchant l’absolu.La perfection passe à côté de sa vie…j’y ai mis beaucoup de moi …
Marguerite, je tiens absolument à lire cet extrait.
j’ai peur je n’aimerais pas que vous me jugiez sur un écrit qui n’arrêtera peut-être pas votre attention ..je n’ai aucune confiance en moi:( malgré tout je vais chercher cet extrait dans mon blog mais il n’est rien que le début de cette nouvelle..je vais le chercher pour vous et je compte sur votre indulgence:)
Quant à l’humilité, je l’ai située comme une composante, la quintessence est ailleurs…
LA déraison
Des idées, des mots, des images se heurtaient dans sa tête. Tu penses trop se dit-elle!
Marie essaya de faire le vide en elle et, n’y parvenait pas.
Son cerveau galopait toujours autant. Elle avait la migraine. Une grande amertume envahissait son cœur; Elle est sa soif d’absolu. Elle n’était rien, se sentait misérable, minuscule.
Avant, des les premiers rayons du soleil, elle s’éveillait, se réchauffait. Chaque été elle semblait plus belle. Sur la plage elle faisait l’amour avec le soleil ,il la caressait, la réchauffait, la brûlait pour la laisser anéantie, inerte sur le sable. Elle était bien..
Des petites perles transparentes roulaient un peu partout sur son visage, son corps, sa peau toute entière. Lui était près d’elle ,il n’avait pas besoin de parler cela suffisait .Ils se comprenaient d’un regard. C’était le bonheur. Le bonheur! Marie répéta ce mot tout haut, ferma les yeux, souffla une petite perle de sueur qui s’obstinait familièrement à venir couler jusqu’au bout de son nez.
Elle se mit sur le ventre, cacha sa tête entre ses bras, serra les yeux, essaya de retrouver son visage. Que faisait-il? Est-ce qu’il l’avait déjà oublié?
Elle revint très loin en arrière. Le premier jour, le premier regard. La seule grande tentation de sa vie.
Septembre était là, septembre et la surprise de ses averses. Il avait surgit lui offrant l’abri de son grand parapluie. Elle qui fuyait toujours les inconnus, marchait maintenant à côté de lui, près de lui. Ainsi tout avait commencé. Au début c’était comme un jeu, une bravade à ses principes instaurés depuis de longues générations. Elle n’avait jamais fait l’amour avec lui. Tout s’était passé dans sa tête dans son cœur et, cela avait fait plus de mal que si elle avait donné son corps.
C’est sur cette même petite plage ….
suite à venir si vous aimez .Ce n’est pas une histoire classique adultère non!!!! …..
Marguerite
Je viens de survoler cet extrait, et plus tard dans la soirée, je reviendrai avec plaisir, prendre un délicieux bain dans l’océan de vos si jolis mots.
Didier
Marguerite, j’ai relevé quatre ou cinq fautes dans cet extrait….
Ce n’est pas grave !! l’important c’est de retenir l’esprit, le message .Comme sur mon blog je suis dans l’idée et il n’y a jamais de ratures je devrais je sais;) c’est pour mon plaisir que j’écris avant tout je ne me sens pas digne de publier…
Vous êtes digne de publier tandis que tant d’auteurs publiés ont usé de matoiserie pour réussir !
J’aime votre belle spontanéité, votre sensibilité d’où émane la déchirure, votre résistance. Mais vous savez tout cela. Nos âmes se frôlent si bien… Didier
Si fort que ça me fait peur Didier ..je pense à vous,à votre âme,votre esprit .je crois que vous êtes doux et tendre , sauvage ,dur quelques fois.
Vous êtes médium. Je suis tendre, solitaire, sauvage car j’ai dû, jeune, ériger mes remparts, je suis dur avec moi-même, perfectionniste, rigoureux; je suis aussi rivé à la nostalgie, endurci par les violents coups de madame la Vie, résistant mais aussi avec mes vertiges, le silence douloureux des heures d’écriture. Et je voyage aussi sur les rives de votre âme. Didier
vous êtes la copie conforme de ce que je suis c’est impressionnant!
Le hasard est parfois émoustillant
pour moi actuellement il est émouvant
J’en suis touché
vous semblez si solide aussi..
En 1991, j’ai tout perdu, en l’espace de trois mois…Licenciement économique, procédure de divorce, hospitalisation…j’avais perdu les piliers de ma vie, s’ensuivit alors, après un immense désarroi, une solitude infinie, la bataille de ma vie, pour remonter la pente…et ma vie a changé. D’où cette solidité que vous avez cernée, chère Marguerite.
même parcours ,même luttes,même force,même fragilité..
Une si belle communion, un exquis geste du destin
vous êtes là et j’aime:)