Vivre est un effort : c’était désormais sa seule certitude. Alors c’était un effort de ne pas être triste, c’était un effort de penser que la vie lui réservait le meilleur, c’était un effort de ne pas céder à lui-même. Il s’en fallait de peu parfois pour qu’il ne s’abandonne de nouveau à sa nature : la noirceur. Alors il se reprenait. Il lui fallait se raccrocher coûte que coûte à ce pari qu’il avait fait avec un brin de volontarisme : l’optimisme.
Arnaud Cathrine
belle clairvoyance ! j’aime.
Belle ténacité aussi.
oui Didier ne pas marcher à reculons est important se rappeler du bon et,chasser l’encombrant des chemins douloureux.
Chasser pourrait être une esquive, une finasserie solitaire. Quoi qu’il en soit, il faut avancer avec les issues de l’optimisme.
Absolument c’est un chemin qui peut nous permettre beaucoup plus d’avancer .L’optimisme chasse le morose sans finasser ça non! je crois que c’est un moyen de sauvegarde qui chasse la morosité:)