Tout ce que je demande au Bon Dieu, quand il m’arrive de m’adresser à lui – sait-on jamais ?, c’est de m’accorder le privilège de continuer à gratter tranquillement du papier jusqu’à la fin de mon séjour ici-bas, et même d’empiéter quelque peu sur ma portion d’éternité, si c’est possible : j’ai tellement de projets que je crains d’arriver un peu court, vers la fin.
François Gravel