Grave erreur souvent commise par la gent féminine à qui on enseigne bêtement depuis des siècles et de siècles qu’il faut se faire désirer. C’est tout le contraire : il ne faut surtout pas se faire désirer. L’homme du vingt-et-unième siècle est un être prosaïque et impatient à l’égo hypersensible. Si on lui met un râteau, il se vexe et passe à la suivante.
Marie Vareille
très ou trop simpliste ..pas d’accord! entre le désir et l’amour il n’y a pas photo…les deux réunis c’est le top..si chaque femme devait toujours dire oui au désir on la traiterait de catin et, en disant: non! elle serait traitée de nunuche ou de bêcheuse..
Je crois qu’il y a confusion entre d’une part, se faire désirer et d’autre part, être apprivoisé. Se faire désirer rabaisse soi-même à un simple objet dont la seule utilité est une satisfaction érotique, voire égocentrique, de ses pulsions animales. Par contre, être apprivoisé fait référence à reconnaître chez l’autre son droit inaliénable à l’intégrité de son être tout entier. C’est voir chez la femme toute la sensibilité qui l’habite laquelle se découvre petit à petit chez l’homme.
Magnifique réflexion Rolland !
bravo Rolland c’est tout à fait ce que je pense ! merci
J’avais choisi cette citation justement pour faire réagir.
Alors un test Didier? grrr je vais vous gronder:):):)
Nous partageons ici notre vision des choses de la vie, de manière élégante.
ok! alors je ne gronde plus:)
Mais c’est exquis d’être tancé par vous, Marguerite
oh!cher Didier je suis incapable de composer hypocritement pour plaire..Vous me connaissez maintenant:)