Je suis obsédé par cette idée que si nous nous réfugions dans les livres avec tant de hâte et de soulagement, c’est que la vie y est épurée de tout ce qui fait de nous des êtres plutôt pitoyables, intéressés et calculateurs, profondément égoïstes, très rarement courageux, globalement dénués de grandeur et la plupart du temps avançant à tâtons comme des chiens perdus.
Lionel Duroy
Le livre n’est-il pas le creuset des mauvaises consciences ? Didier Celiset
non je ne pense pas..je crois qu’il reste une porte entre ouverte dans le domaine des autres. pensées multiples à découvrir ,c’est une source d’ enrichissements.. Livre,des mots jetés sur une page nous font aller vers l’autre.
Le livre distille ses clés, ses soupapes, ses miroirs contrariants, ses portes entrouvertes , certes, également ses abîmes à décoder. Didier Celiset
le livre celui que nous pouvons écrire libère aussi. Décoder c’est percevoir,ressentir ,comprendre,s’interroger sur soi ,sur les autres…
C’est cela, Marguerite. Pour moi, le livre est une respiration difficile.
c’est simplement une forme de pudeur mais libérez vous..qu’importe le jugement des autres qu’importe?
J’épie les appréciations, ne serait-ce que pour me faire une idée plus précise de la nature humaine, avec sa bienveillance ou ses travers.
Ouvrez les portes Didier pourquoi êtes vous si sévère pour vous?
vis à vis de vous:)
Sans les livres, L’humanité aurait-elle pu simplement exister? Question sans réponse.